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Parti Fédéraliste

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19 mars 2006

leurs propositions

Pourquoi le Parti fédéraliste ?
Parce que l'Etat central a fait la preuve de son incapacité à se réformer et à donner la parole à ses territoires
, parce que le "modèle français" est loin d'en être un sur le plan institutionnel.

Mais pourquoi un nouveau parti ?
Parce que l'Etat central ne serait pas ce qu'il est si les partis nationaux, "les grands partis" comme disent les médias, n'oubliaient pas que la France ne se résume pas à Paris mais que sa richesse réside d'abord dans la diversité et le dynamisme de ses Régions.

Principe de subsidiarité :
UNE MEILLEURE REPARTITION
DES POUVOIRS !

Le Parti fédéraliste souhaite répartir harmonieusement les compétences, donc les pouvoirs et responsabilités, entre l'Europe, la France et les Régions en respectant un seul critère : celui du meilleur service aux citoyens.

C'est donc pour répondre aux carences de ces partis dans la prise en compte des préoccupations des citoyens que le Parti Fédéraliste a été créé en 1998.

Le Parti fédéraliste se veut en outre engagé dans la construction européenne.
Il milite pour l'avènement d'une Europe Fédérale proche de ses habitants,
construite sur la base de la subsidiarité et libérée des petits arrangements entre Etats qui la paralysent actuellement.

Nos propositions

A chaque région : son Parlement et son Gouvernement.

Des régions qui gèrent elles-mêmes leurs propres affaires, dans le respect d'un cadre fédéral, national, comme chez nos voisins européens.

Tous les impôts directs à la Région. Elle pourra en fixer librement le taux.

Une caisse de solidarité régionale pour compenser les inégalités entre régions riches et pauvres.

Plein emploi. Les énergies locales aujourd'hui paralysées par la bureaucratie centralisée seront enfin libérées.

Un modèle éducatif fédéral. Il sera orienté selon les réalités locales et intégré au cadre éducatif national et européen.

Une meilleure qualité de vie. Les problèmes écologiques seront traités en dehors des groupes de pression qui agissent sur l'Etat.

La reconnaissance des identités, des langues et des cultures régionales.

Une constitution fédérale Européenne. Réunissant d'abord les 6 pays fondateurs de l'Europe, elle sera ensuite ouverte à ceux des pays Européens qui en accepteront les règles.

Un gouvernement fédéral européen. Il sera chargé de traiter des problèmes qui sont de son niveau : monnaie, défense, affaires étrangères.

Moins de chômage. La monnaie européenne aura un taux d'intérêt plus bas que celui du franc. Elle mettra fin à la suprématie du dollar et à la spéculation. Elle fera disparaître les "politiques nationales" d'austérité.

Plus de sécurité. Les organisations de la drogue, du terrorisme, du banditisme et de l'immigration clandestine ne pourront plus profiter de la diversité des législations nationales.

Plus d'argent pour les Régions. Elles pourront traiter directement avec l'Europe.

Le respect de nos identités régionales. L'Europe respecte les cultures régionales, l'Etat-Nation cherche à les étouffer.

La fin de l'Europe du "chacun pour soi" qui est celle de la précarité, de la drogue et de la "vache folle" pour tous.

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19 mars 2006

règles et statu

Les statuts du parti fédéraliste :

Adoptés à Marseille par l'Assemblée générale extraordinaire du 27 septembre 1998 et modifiés par l'Assemblée Générale ordinaire du 25 Novembre 2001 à Lyon.

Article 1 - Dénomination

- Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association à durée illimitée qui prend le nom de Parti Fédéraliste.


Article 2 - Objet

- Le Parti Fédéraliste oeuvre en faveur de la promotion, de la diffusion et du développement du fédéralisme et de ses principes qui sont la liberté, l'autonomie, la participation et la subsidiarité.

- Il soutient la nécessité d'une action politique responsable, démocratique et transparente pour la défense des individus, des communautés et des peuples, selon le principe de subsidiarité et la primauté des droits et devoirs de la personne. A ce titre, il combat pour la construction d'une France Fédérale dans une Europe Fédérale, fondée sur l'institution de régions fortes représentées à leurs niveaux. Cette action garantira l'objectif qui est le sien de la qualité de la vie et de l'environnement et le libre épanouissement de l'homme.

- Il participe dans ses buts à la vie politique, et mène à cet effet toute action légale de réflexion, de proposition, de coopération, de revendication, de manifestation et d'adhésion.

- La circonscription d'activité de l'association est le territoire national français, y compris les départements d'outre-mer.


Article 3 - Principes

- Le Parti Fédéraliste observe, dans le cadre de son organisation, les règles de la démocratie et du pluralisme.

- Toutes ses instances sont élues par les adhérents ou leurs représentants ; leur mode de désignation assure, à tous les niveaux, une composition représentative de la diversité des opinions exprimés, proportionnellement aux résultats obtenus par les candidatures.

- Les décisions sont prises par toutes les instances à la majorité absolue des suffrages exprimés.

- Les libertés de discussion, d'expression, de vote et de candidature sont garanties, y compris dans le cadre des débats et scrutins publics ; toutefois, l'auteur d'une opinion ou d'une action contraires aux décisions du mouvement ne peut se réclamer de celui-ci.


Article 4 - Adhérents

- Peuvent adhérer au Parti Fédéraliste les personnes physiques âgées de quinze ans au moins.

- L'adhésion peut être refusée à toute personne se signalant par son opposition aux idéaux du Parti Fédéraliste.

- Ils acquittent une cotisation dont le montant minimum est fixé annuellement par l'Assemblée générale.

- La qualité d'adhérent se perd lors de :
La démission
Le décès
La radiation pour non paiement de cotisation
La suspension pour adhésion à une organisation récusée
L'exclusion pour faute grave ou opposition aux idéaux fondamentaux du Parti Fédéraliste


Article 5 - "Partenaires"

- Le Parti Fédéraliste peut agréer en qualité de "partenaires" les associations qui se réclament du Parti Fédéraliste et en font la demande.

- Deux types de partenaires sont distingués :
- Les associations régionales dont les finances sont coordonnées par l'AFPF. Ces associations prennent la dénomination Parti Fédéraliste X, X désignant la région correspondante à leur circonscription d'activité ; les adhérents de ces associations régionales sont de droit adhérents au Parti Fédéraliste.
- Les associations libres qui établissent des liens doctrinaires avec le Parti Fédéraliste tout en gardant une autonomie totale de gestion et de dénomination. Ces dernières n'ont aucun lien comptable ni avec le Parti Fédéraliste ni avec l'AFPF, et leurs adhérents ne sont pas adhérents de droit au Parti Fédéraliste.

- L'assemblée générale du Parti Fédéraliste est la seule autorisée pour établir annuellement la liste des "partenaires" agréés par le Parti Fédéraliste, sur proposition de la Direction Collégiale.

- Les statuts et règles des "partenaires" doivent être compatibles avec ceux du Parti Fédéraliste, sous réserve d'un délai d'adaptation d'un trimestre au moins.

- En cas de contradiction, les statuts et règles du Parti Fédéraliste s'appliquent.

- La répartition des attributions entre le Parti Fédéraliste et ses "partenaires" s'effectue sur la base du principe de subsidiarité.

- Les "partenaires" assurent, dans la limite de leurs attributions, le respect des statuts et règles du mouvement ; celui-ci peut se substituer à eux en cas de défaillance.

- La qualité de "partenaire" se perd lors de :
La renonciation expresse à celle-ci par le "partenaire".
La dissolution du « partenariat » par l'Assemblée générale du Parti Fédéraliste.
La suspension de l'agrément pour manquement aux conditions statutaires.
Le retrait de l'agrément pour motif grave ou opposition aux idéaux fondamentaux du Parti Fédéraliste

- La suspension ou le retrait de l'agrément peuvent être prononcés selon une procédure d'urgence par la direction collégiale du Parti Fédéraliste et seront portés à l'ordre du jour de la prochaine Assemblée Générale.

- L'actif subsistant d'une association régionale dissoute est attribué à l'AFPF.

- L'actif subsistant d'une association libre dissoute est attribué selon les statuts de cette association.

- Une association ayant perdu la qualité de "partenaire" du fait du retrait de son agrément ne peut se prévaloir d'une appartenance au Parti Fédéraliste.


Article 6 - Assemblée Générale

- L'assemblée générale est l'instance souveraine du Parti Fédéraliste dont elle détermine les orientations.

- Elle réunit tous les adhérents qui peuvent se faire représenter.

- Elle se réunit en session ordinaire chaque année au cours de la même saison à l'initiative du Conseil fédéral.

- Elle peut également se réunir en session extraordinaire à l'initiative du Conseil fédéral, du tiers des "partenaires" ou du dixième des adhérents.

- Les participants sont convoqués personnellement un mois au moins à l'avance.

- L'ordre du jour est fixé par la partie qui est à l'origine de la convocation ; les participants peuvent envoyer des propositions, motions, contributions et candidatures quinze jours au moins avant la date de la réunion.


Article 7 - Conseil fédéral

- Le Conseil fédéral est l'instance dirigeante du Parti Fédéraliste, dont il met en œuvre les orientations.

- Il est composé de délégués élus par les adhérents :

- Dans le cadre de l'assemblée du Parti Fédéraliste, au niveau de l'Assemblée générale

- Dans le cadre de chaque "partenaires"

- Le nombre de délégués élus dans chaque est proportionnel au nombre des adhérents qui y sont inscrit, et au moins égal à deux

- Les délégués sont élus pour la période qui sépare deux sessions ordinaires de l'Assemblée générale.

- Le Conseil fédéral a qualité pour :
- Ester en justice
- Contracter
- Autoriser les dépenses

- Il peut déléguer expressément et ponctuellement ces attributions.


Article 8 - Direction collégiale

- La direction collégiale est l'instance exécutive du mouvement dont elle assure la permanence, la représentation et le fonctionnement.

- Elle est composée de membres élus en son sein par le Conseil fédéral.

- Elle comprend notamment le président, le secrétaire et le trésorier.


Article 9 - Comité statutaire

- Le comité statutaire assure le respect des statuts et règles du Parti Fédéraliste.

- Il est composé de membres élus annuellement par l'Assemblée générale, ou en cas de vacance par le Conseil fédéral.

- Il est consulté préalablement à l'adoption des additifs.

- Il assure le contrôle de la gestion financière du Parti Fédéraliste ou de ses "partenaires".

- Il peut annuler toute décision irrégulière des instances du Parti Fédéraliste ou de ses "partenaires", à l'initiative de toute personne concernée ; les recours ne sont suspensifs que sur sa décision expresse.

- Il dispose pour l'accomplissement de sa mission de tous les moyens d'information nécessaires.

- Il statue en dernier ressort, mais ses décisions peuvent être invalidées par l'Assemblée générale à l'initiative du Conseil fédéral.

- Il informe le Conseil général, l'Assemblée générale, les "partenaires" et, le cas échéant, les juridictions publiques de toute irrégularité constatée.


Article 10 - Additifs

- Les présents statuts sont complétés et précisés par des additifs et par un règlement intérieur adoptés par l'Assemblée générale du Parti Fédéraliste.

- Ceux-ci peuvent prévoir des dérogations aux présents statuts si un acte d'adhésion du mouvement le rend nécessaire.

- Dans le cadre défini par les statuts et les additifs, le Conseil fédéral adopte des descriptifs qui détaillent le fonctionnement du mouvement.


Article 11 - Révision

- Les présents statuts peuvent être révisés par l'Assemblée générale à l'initiative du Conseil fédéral, du tiers des "partenaires" ou du dixième des adhérents.

- La révision doit être approuvée par la majorité absolue des adhérents.

- En cas de dissolution, l'actif subsistant ne peut être attribué qu'au profit d'une ou plusieurs organisation poursuivant des buts conformes aux idéaux fondamentaux du Parti fédéraliste.



ADDITIF 1 Cadres

Article 1 - Régime
- Le mouvement est organisé sous le régime des lois du 1er juillet 1901, du 11 mars 1988 et du 15 janvier 1990.

Article 2 - Sigle
- Le mouvement emploi le sigle P.F.

Article 3 - Ressort
- Le mouvement organise son action sur le territoire français.
- Il peut intervenir dans un cadre situé hors de celui-ci.

Article 4 - Ressources
- Les ressources du mouvement sont gérées par l'association de financement du Parti fédéraliste (AFPF), créée à cet effet. Celle-ci met les fonds nécessaires au fonctionnement du Parti Fédéraliste à disposition du Trésorier Fédéral qui est ordonnateur des dépenses et responsable de la gestion comptable du Parti.

Article 5 - Siège
- Le siège du mouvement est situé à Besançon.
- Il peut être transféré par décision du Conseil fédéral ou en cas d'urgence de la Direction collégiale.



ADDITIF 2 Adhérents

Article 1 - Adhésion
- L'adhésion au mouvement s'effectue par l'adhésion à l'une des associations régionales agréées par le Parti Fédéraliste ou directement auprès du secrétariat général.
- Elle est communiquée dans la semaine au secrétariat et aux associations régionales concernées.
- Elle peut être refusée par la Direction collégiale ou par les dites associations régionales dans le mois qui suit cette communication, si l'adhésion n'a pas été refusée à l'expression de ce délai, elle est considérée comme effective après paiement de la cotisation à l'AFPF.

Article 2 - Cotisation
- Le montant minimum de la cotisation est fixé par l'Assemblée générale du Parti Fédéraliste au cours de sa session ordinaire.
- Au-delà d'un montant déterminé, le cotisant a qualité de donateur.
- La cotisation peut être réglée intégralement ou par fractions périodiques à l'AFPF.

Article 3 - Suspension
- La liste des organisations récusées est fixée par la direction collégiale et avalisée par l'Assemblée Générale du Parti Fédéraliste.
- Une organisation peut être récusée pour opposition aux idéaux fondamentaux du Parti Fédéraliste ou pour raisons d'incompatibilité formelle.

Article 4 - Exclusion
- L'exclusion peut être prononcée par le Conseil fédéral à l'initiative de la Direction collégiale ou de tout "partenaire" auquel adhère la personne concernée.
- Les "partenaires" concernés sont informés à cet effet dans la semaine de tout décision de cet ordre prise par le mouvement.
- Le Conseil fédéral peut seul autoriser la réintégration d'une personne dont il a prononcé l'exclusion.

Article 5 - Répercussion
- Le refus de l'adhésion et la perte de la qualité d'adhérent au mouvement entraînent de plein droit le refus de l'adhésion ou la perte de la qualité d'adhérent à toute association régionale du mouvement.
- Les "partenaires" concernés sont informés à cet effet dans la semaine de toute décision de cet ordre prise par le mouvement.


ADDITIF 3 "Partenaire"

Article 1 - Classification
- Les "partenaires" reconnus par le mouvement sont :
- Les associations régionales
- Les associations libres comprenant :
Les associations catégorielles
Les associations ouvertes
Une double appartenance à une association libre et au PF est autorisée et soumise au paiement d'une cotisation à chacune des associations.

Article 2 - Associations régionales
- Les adhérents peuvent constituer des associations régionales qui poursuivent les mêmes buts que le mouvement.
- Le ressort d'une association régionale est librement fixé par celle-ci ; l'incompatibilité de deux ressorts est arbitrée par le Conseil fédéral.
- Chaque association régionale tient une comptabilité, coordonnée en fin d'exercice par le Trésorier Fédéral et l'AFPF.
- La relation entre les associations régionales et le Parti Fédéraliste est régie en tout point par le principe de subsidiarité.

Article 3 - Associations catégorielles
- Toute association à caractère socioprofessionnelle peut être agréée en qualité de "partenaire" du Parti Fédéraliste. Ce partenariat n'engage toutefois aucun lien d'ordre financier entre le partenaire et le Parti Fédéraliste.

Article 4 - Associations ouvertes
- Les associations qui ne sont ni régionales ni catégorielles peuvent également être agréée en qualité de "partenaire". Ce partenariat n'engage toutefois aucun lien d'ordre financier entre le partenaire et le Parti Fédéraliste.

Article 5 - Agrément
- L'agrément des "partenaires" est prononcé par le Conseil fédéral dans le semestre qui suit la demande et est avalisé par l'Assemblée Générale du PF. Il n'est effectif qu'après cet aval.
- L'agrément peut être suspendu ou retiré par la Direction Collégiale à l'initiative du Conseil fédéral ou d'un autre "partenaire".
- Le comité statutaire est consulté préalablement à ces décisions.

Article 6 - Obligations
- Les "partenaires" sont tenus d'indiquer leur appartenance au Parti fédéral dans le cadre de leurs attributions.
- Les associations régionales rendent compte trimestriellement de leur gestion comptable au Président de l'AFPF. Les cotisations des adhérents à ces associations, valant cotisation au PF, sont obligatoirement perçues par l'AFPF qui en reverse une quote part aux associations régionales. Cette quote part est déterminée annuellement par l'Assemblée Générale du PF sur proposition de la Direction Collégiale.
- Les "partenaires" informent le secrétariat général du PF de toutes les dispositions qu'ils adoptent pour leur propre fonctionnement et pour l'application des statuts et règles du mouvement.
- Le Conseil fédéral a qualité pour adopter les mesures nécessaires en cas de défaillance d'un "partenaire" après consultation du Comité statutaire.
- Le refus de l'adhésion et la perte de la qualité d'adhérent à une association régionale ne peuvent être prononcés que pour les motifs prévus pour une décision similaire du mouvement ; ils entraînent le refus de l'adhésion ou la perte de la qualité d'adhérent au mouvement.


ADDITIF 4 Assemblée générale

Article 1 - Initiative
- La date et le lieu de chaque session sont fixés par le Conseil fédéral au moins quatre semaines à l'avance.
- La date et le lieu d'une session ordinaire sont fixés au cours de la saison d'été pour la saison d'automne.
- Lorsqu'une session extraordinaire est convoquée à l'initiative du tiers des "partenaires" ou du dixième des adhérents, la réunion du Conseil fédéral qui en fixe la date doit intervenir dans le mois qui suit le dépôt de l'initiative auprès du secrétariat et la session extraordinaire dans le deuxième mois qui suit cette réunion.

Article 2 - Convocation
- La date et le lieu des sessions de l'Assemblée générale sont portés par le secrétaire général à la connaissance de tous les adhérents au moins 15 jours avant la date de la réunion.

Article 3 - Préparation
- L'ordre du jour est adressé aux adhérents avec la convocation.
- Les propositions, motions, contributions et candidatures envoyées au secrétariat quinze jours au moins avant la date de la réunion leurs sont adressées dans la deuxième semaine qui la précède, avec les éventuels apports complémentaires du Conseil fédéral ou des "partenaires".
- Des candidatures peuvent être acceptées jusqu'au début de chaque scrutin si leur nombre antérieur est insuffisant.
- Les propositions, motions et contributions qui ne sont pas parvenues au secrétariat dans les délais peuvent être portées à l'ordre du jour si elles sont déposées en nombre d'exemplaires au moins égal à celui des participants présents.
- Les adhérents adressent leur inscription ou signifient leur représentation au secrétariat dans la semaine qui précède la réunion.

Article 4 - Organisation
- Le Conseil fédéral désigne pour chaque session un bureau ad hoc composé d'un président et de plusieurs assesseurs ; ce bureau a pour tâche de veiller à la régularité du déroulement des travaux de l'Assemblée générale et d'assurer la direction et la consignation des débats.
- Le bureau ad hoc soumet à l'appréciation de l'Assemblée générale les règles qui organisent les amendements, débats et votes en séance ; il désigne pour chaque scrutin des scrutateurs parmi les participants qui ne sont pas candidats.

Article 5 - Déroulement
- Les travaux de séance plénière sont préparés au sein d'ateliers organisés par le Conseil fédéral, auxquels la participation est libre.
- Au cours de sa session ordinaire, l'Assemblée générale :
vote le rapport politique présenté par le président
vote le rapport intérieur présenté par le secrétaire général
vote le rapport financier présenté par le trésorier
élit ses délégués au Conseil fédéral ainsi que les membres du Comité statutaire
- Au cours de toutes ses sessions, l'Assemblée générale vote toute proposition ou motion soumise à son appréciation.
- Le comité statutaire présente ses observations avant le vote des rapports intérieurs et financiers.


ADDITIF 5 : Conseil fédéral

Article 1 - Election
- Les délégués sont élus dans chaque cadre à raison d'un pour cinq adhérents plus un par fraction restante, plus un si l'effectif est au plus égal à cinq.
- Les délégués des "partenaires" sont élus pour le mandat qui part de la session ordinaire de l'Assemblée générale qui suit leur élection, excepté si un "partenaire" n'a pas de délégués en fonction, auquel cas ses délégués sont élus pour le mandat en cours.
- Les candidatures sont présentées à titre individuel ou collectif.
- Les sièges à pourvoir sont répartis entre les listes en fonction des résultats, proportionnellement avec prime au plus fort reste. Les adhérents se prononcent en faveur d'une liste et peuvent rayer le nom des candidats qui y figurent ; sont élus les candidats qui ont obtenu le plus de voix, ou en cas d'égalité ceux qui figurent en premier sur la liste.
- Les délégués sont suppléés par leurs colistiers dans le même ordre.
- Les sièges vacants sont redistribués au profit des listes qui comportent des candidats non-élus.

Article 2 - Réunion
- Le Conseil fédéral tient une réunion ordinaire au cours de chaque saison de l'année à l'initiative de la Direction collégiale.
- Il peut tenir une réunion extraordinaire à l'initiative de la Direction collégiale, d'un "partenaire" ou du quart des délégués.
- Les délégués sont convoqués par le secrétariat quinze jours au moins à l'avance ; ce délai peut être réduit en cas d'urgence. Le président du bureau permanent du Comité statutaire ainsi que les présidents des "partenaires" et des organismes associés sont invités avec voix consultative à toute les réunions
- L'ordre du jour est fixé par la partie qui est à l'origine de la convocation ; les "partenaires", les délégués et les autres instances du mouvement peuvent présenter des propositions, motions et contributions à tout moment.

Article 3 - Fonctionnement
- le Conseil fédéral élit pour chacune de ses réunions et sur propositions de la Direction collégiale un bureau ad hoc composé d'un président et de plusieurs assesseurs, qui veillent à la régularité de ses travaux et assure la direction et la consignation de ses débats.
- Il organise en son sein des commissions qui peuvent comporter des membres extérieurs compétents.
- Il peut également organiser des organismes associés dans tous les domaines de réflexion, d'action et de communication relatifs à l'objet du mouvement.


ADDITIF 6 : Direction collégiale

Article 1 - Composition
- La Direction collégiale comprend au moins, en plus du président, du secrétaire général et du trésorier, plusieurs présidents adjoints et un secrétaire.
- Le président est élu par le Conseil fédéral au scrutin majoritaire ; les autres membres sont élus sur sa proposition, de façon que la composition générale reflète la diversité des opinions représentées au Conseil fédéral.
- Le président ne peut assurer la présidence du Conseil fédéral ou de l'Assemblée générale.
- Les membres de la direction collégiale peuvent être destitués par le Conseil fédéral pour faute grave ou à la suite de l'adoption d'une motion de défiance individuelle votée par la majorité absolue des délégués.

Article 2 - Réunion
- La Direction collégiale se réunit au moins une fois par mois.
- Le président du bureau permanent du Comité statutaire ainsi que le Président de l'AFPF ou son représentant sont invités avec voix consultative à toutes les réunions.

Article 3 - Fonctionnement
- Les membres de la Direction collégiale exercent leurs responsabilités individuelles selon les indications du président ; toutefois, ils ne peuvent recevoir de consignes contraires aux obligations que leur imposent les statuts et les règles du mouvement.
- La Direction collégiale adopte un code interne qui détaille son fonctionnement ; les dispositions de ce code doivent être ratifiées par le Conseil fédéral.


ADDITIF 7 : Comité statutaire

Article 1 - Composition
- Le Comité statutaire comprend cinq membres élus pour la période qui sépare deux sessions ordinaires de l'Assemblée générale.
- Les candidatures sont présentées à titre individuel accompagnées d'une motivation personnelle.
- Les participants au scrutin votent pour cinq candidats au plus : sont élus ceux qui obtiennent le plus de voix ou, en cas d'égalité, ceux dont l'adhésion a été enregistrée le plus tôt.
- Les membres sont suppléés par les autres candidats dans le même ordre.
- Ils ne peuvent être membres du Conseil fédéral.
- Les sièges vacants peuvent être pourvus par le Conseil fédéral à la majorité absolue des délégués.

Article 2 - Saisine
- Le Comité statutaire est saisi :
pour consultation à tout moment par toute instance ou tout "partenaire" du mouvement
pour annulation, dans le mois qui suit la décision visée
- La saisine est adressée au secrétariat, qui transmet aux intéressés.

Article 3 - Décisions
- Le Comité statutaire statue dans le mois qui suit sa saisine
- Il ne peut statuer qu'en présence de trois de ses membres au moins, chaque partie pouvant en récuser un ; la majorité est requise pour faire droit à une demande.
- Toutes les parties sont invitées au moins quinze jours à l'avance ; elles peuvent être entendues et se faire assister.
- Les décisions sont communiquées dans la semaine au secrétariat, qui transmet aux intéressés.

Article 4 - Contrôle
- Les instances compétentes et les "partenaires" portent à la connaissance du Comité statutaire toutes les pièces qui retracent leurs opérations financières dans le trimestre qui suit leur élaboration ; ils sont tenus de déférer à toutes convocation et demande de renseignements.
- Le Comité statutaire se réunit au moins une fois par exercice à l'initiative de son bureau permanent.

Article 5 - Fonctionnement
- Le Comité statutaire élit en son sein un bureau permanent composé d'un président et de plusieurs assesseurs, qui veillent à la préparation et à la régularité de ses travaux, et assure la direction et la consignation de ses auditions et délibérations.
- Il adopte un code interne qui détaille son fonctionnement ; les dispositions de ce code doivent être ratifiées par le Conseil fédéral.



ADDITIF 8 : Soutien financier
- Il est institué une association de financement dénommée "Association de Financement du Parti Fédéraliste" (AFPF), chargée de la collecte des fonds nécessaire au fonctionnement du Parti.
- Le Conseil fédéral prend les mesures nécessaires à sa création et son Président ou son représentant est membre de droit avec voix consultative du Conseil fédéral.


ADDITIF 9 : Participation forfaitaire
- Les frais de déplacement des participants aux réunions des instances du mouvement sont additionnés et répartis également entre eux dans les limites du coût ferroviaire et du coût réel.


ADDITIF 10 : Elections

Article 1 - Participation
- La décision de participer aux élections européennes et nationales est prise par l'Assemblée générale ou, en cas d'urgence par le Conseil fédéral. Pour les autres élections, les "partenaires" concernés, ou à défaut, le Conseil fédéral sont compétents.

Article 2 - Investitures
- Les candidats que présente le Parti fédéraliste dans une circonscription qui n'est pas inscrite dans le ressort d'une association régionale sont investis par une convocation électorale de tous les adhérents inscrits dans cette circonscription ; si le nombre des adhérents ou des candidats à la candidature est insuffisant, le Conseil fédéral procède lui-même aux investitures supplémentaires.
- Pour les élections qui interviennent à l'expiration d'un mandat complet, les conventions électorales sont convoquées par le Conseil fédéral au moins quinze jours à l'avance, dans l'année qui précède le scrutin ; pour les élections anticipées, le délai de convocation peut être réduit en cas d'urgence.
- L'organisation d'une convention électorale est identique à celle d'une session de l'Assemblée générale.
- Les candidats sont désignés, sur motivation personnelle au scrutin majoritaire.

Article 3 - Alliances
- Les alliances électorales relatives aux élections qui ne sont pas de la compétence d'un "partenaire" sont conclues par le Conseil fédéral.
- La mise en oeuvre de ces alliances dans chaque circonscription exige leur ratification par les conventions électorales concernées.


ADDITIF 11 : Conciliation

- Tout conflit intervenant au sein du mouvement est porté pour être concilié devant un groupe conciliatoire désigné par le Conseil fédéral.
- Le groupe conciliatoire rend une tentative de conciliation dans les quinze jours qui suivent la saisine.
- Le recours au Comité statutaire n'est possible qu'après que cette tentative ait échoué.


ADDITIF 12 : Charte éthique

- Une charte éthique détermine les règles morales que le Parti fédéraliste, ses "partenaires" et ses adhérents sont tenus d'observer dans le cadre de leur action militante et de leur comportement politique.
- Cette charte est élaborée par le Conseil fédéral, et ses dispositions soumises pour ratification à l'Assemblée générale.

19 mars 2006

histoire

Rapide historique du Parti.

1995 : Jean-Philippe Allenbach et un noyau de militants du REF (Rassemblement pour l'Europe Fédérale) créent le Parti fédéraliste.

1997 : Rédaction et publication du livre-programme "Nous, on propose !" qui liste les propositions très concrètes de la nouvelle formation politique.

1998 : Elections régionales, 12 listes présentées - Scores de 1,5 à 4,7%.
Les bons résultats sont constatés dans les régions frontalières.

1999 : Elections européennes. Malgré la caution versée permettant de participer, le Parti fédéraliste n'obtient que 0,002% du temps d'antenne réservé aux candidats.
Première procédure contre le C.S.A et la Télévision française pour ouvrir davantage la vie politique aux citoyens.

2001 : Jean-Philippe Allenbach est candidat aux élections municipales de mars à Besançon ­ Score : 4,9 % au final d¹une campagne menée sur le thème de la proximité et de l¹écoute des citoyens.

2002 : Election présidentielle : Jean-Philippe Allenbach est désigné candidat du Parti fédéraliste, mais n¹obtient pas les 500 signatures.
Appel entre les 2 tours à voter contre le candidat d'extrême droite.

2002 : Elections législatives ­ le Parti fédéraliste présente 93 candidats.
L'attrait des électeurs pour la reconnaissance de spécificités locales se confirme.

2003 : Septembre - Dépôt de plainte du Parti fédéraliste devant la Cour européenne des Droits de l'Homme contre la France. Il s¹agit de changer le mode d¹attribution des aides aux partis politiques. Le système actuel pénalise les petites formations et ne permet pas le renouveau d¹une vie politique en crise.

Depuis sa création, le Parti fédéraliste a été de toutes les élections (à l'exception de la Présidentielle de 2002). Il témoigne ainsi d'une ferme volonté de délivrer son message et de sensibiliser les électeurs à ses propositions.

Il a également démontré sa détermination à émerger et à exister durablement sur l'échiquier politique français. Même si depuis sa création, son financement est assuré uniquement par les cotisations et les dons des militants.

Et en 2004 : Participation aux élections régionales et européennes

19 mars 2006

le fondateur


Jean-Philippe Allenbach... un européen convaincu !

Né le 9 janvier 1948 à Besançon (Franche-Comté), ancien élève en Sciences économiques à l'Université de Strasbourg, diplômé de Sciences Politiques à Paris et titulaire d'une maîtrise en relations économiques internationales, il débute sa carrière chez Paribas puis s'installe à Francfort où il travaille comme cambiste à la Bank of America. Il est ensuite Directeur financier d'une grande entreprise de commerce international à Zürich jusqu'en 1984, date à laquelle il créé sa propre société de consulting, spécialisée dans le conseil financier aux grandes entreprises, avec des bureaux à Paris, Zürich, Chicago, Varsovie et Moscou.
Spécialiste reconnu en finance et commerce international, il a une grande expérience notamment dans le domaine énergétique.


Européen convaincu depuis ses années d'université, il milite et manifeste déjà en 1969 à Strasbourg pour réclamer l'élection du Parlement européen au suffrage universel. On le retrouve également à l'occasion du référendum de Maastricht, militant activement pour le «oui». Il adhère alors au Rassemblement pour l'Europe Fédérale (R.E.F.) dont il est candidat aux élections législatives de 1993 (à Nice) et aux municipales de 1995 (à Cannes).

C'est en 1997 qu'il créé le Parti fédéraliste qui apparaît pour la première fois sur la scène politique française aux régionales de mars 1998.

Adeptes de la décentralisation avant l'heure
, Jean-Philippe Allenbach appelle aussi de ses vœux une Europe fédérale.

Il ouvre un véritable débat d'idées en France en défendant le rôle prépondérant des régions d'un point de vue politique et administratif.

Avec 3 expériences électorales
(européennes de juin 1999, municipales de mars 2001, législatives d'avril 2002), Jean-Philippe Allenbach, 54 ans, soucieux d'une action durable sur la scène politique française, ne désarme pas et multiplie les opérations de démocratie de proximité.

Il s'agit de se faire entendre "pour montrer aux citoyens que les élus leur confisquent leur volonté politique".
19 mars 2006

le président du pf

Christian Chavrier : un euro-citoyen du monde !

Christian Chavrier a 40 ans. Marié, bientôt papa, il est originaire de Provence, région ensoleillée qu'il décide de retrouver après plusieurs années passées à Paris, pour "raisons professionnelles".

Depuis plus de dix ans, Christian Chavrier multiplie rencontres et débats, dans le cadre de sa profession comme dans sa vie privée. Après avoir travaillé pour de grands noms du tourisme ce spécialiste de l'industrie touristique est aujourd'hui consultant : son expertise est internationalement reconnue.

Christian Chavrier défend les couleurs du Parti Fédéraliste depuis maintenant quatre ans. Il est également très actif dans de nombreuses associations sportives, professionnelles et d'intérêt local.

Une expérience riche et diversifiée

Après une carrière sportive, Christian Chavrier se tourne en 1986 vers les métiers du tourisme. Son expérience est fondée sur un parcours réussi de vingt années au service de l'industrie touristique. Autodidacte, il gravit les échelons et occupe de nombreux postes de responsabilité. Commençant comme GO, il passe très rapidement directeur d'Hôtels Clubs, directeur de croisières et commissaire de bord. Des grands noms du tourisme lui confient d'importants projets et c'est au cours de missions à l'étranger particulièrement délicates qu'il s'illustre et gagne une forte réputation.

Polyglotte, il ne connaît pas moins de soixante pays. Il a notamment dirigé plusieurs équipes d'au moins 400 membres, chacune composée de personnels représentant quelques vingt-cinq nationalités différentes. Apprécié de ses collaborateurs, ami de nombreuses personnalités, tous reconnaissent en lui compétence, professionnalisme, talent et qualités humaines.

Aujourd'hui, Christian Chavrier exerce le métier de consultant, spécialisé dans le tourisme et les croisières. Il s'attache à promouvoir ce qu'il appelle "un tourisme éthique".

Un engagement humaniste...

Son credo, le voici : dignité humaine ; respect des identités et du "vivre ensemble" ; droits de l'homme, et surtout devoirs de l'homme envers ses semblables, les générations futures ainsi que notre belle planète.
Il est séduit par de nombreux autres engagements, comme l'exercice de la citoyenneté, la construction européenne, la solidarité, la maîtrise de la mondialisation ou encore le décollage du continent africain.

"Il faut écouter, convaincre, souvent s'opposer mais toujours proposer."
Cet engagement au service de l'homme, il le concrétise en politique, même s'il revendique "ne pas être pas coopté, héritier, énarque, sorti de Sciences Po ou du sérail". Il combat avec fermeté les idées extrémistes, d'où qu'elles viennent, qu'il estime les unes obscènes, les autres simplistes, toutes tournées vers le passé. Il s'est toujours senti "euro-citoyen du monde", que ce soit en France ou à l'étranger.

Il croit profondément aux principes du fédéralisme, non de manière dogmatique mais de façon pragmatique, comme étant le seul outil efficace au service de nos régions, de la France et de l'Europe.
Comme beaucoup de Français, Christian Chavrier ne se reconnaît pas dans l'offre des principales formations politiques. C'est pourquoi il a choisi de rejoindre le Parti Fédéraliste.


... au service du fédéralisme

Tête de liste des Fédéralistes d'Ile de France aux dernières élections régionales (2,91% des voix dans l'Essonne), Christian Chavrier et la nouvelle équipe dirigeante du Parti Fédéraliste souhaitent poursuivre le travail engagé avec d'autres formations politiques
(Génération Écologie, Collectif des Démocrates Handicapés, Vaincre le Chômage, etc.) et ce dans la perspective des prochaines échéances électorales.

Le nouveau président du Parti Fédéraliste a rappelé ses objectifs fondamentaux : une France fédérale dans une Europe fédérale ; le renouveau démocratique, respectueux du principe de subsidiarité ; l'équilibre entre l'exigence de justice sociale et le désir de liberté, plaçant enfin l'homme et son environnement au centre des enjeux politiques.

À l'éternelle question du positionnement politique, Christian Chavrier préfère se définir lui-même comme "centriste indépendant".

Son comité de soutien est présidé par Antoine Sfeir, écrivain, spécialiste du monde arabe et directeur des Cahiers de l'Orient.

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19 mars 2006

Le mouvement


Un mouvement d'action publique
Le Parti fédéraliste est le bras actif de tous ceux qui veulent promouvoir en France une réelle décentralisation et un fédéralisme européen.
Il participe à l'élaboration de la politique nationale, européenne et internationale du Parti Fédéraliste à travers le Conseil Fédéral où sont représentées toutes les composantes régionales.



Un mouvement de participation et de proposition.
Femmes et hommes, de toutes origines sociales et politiques, nous consacrons une partie de notre temps à l'action politique et oeuvrons pour nos convictions et la mise en place de solutions concrètes dans un soucis d'amélioration du quotidien de tous.
C'est un mouvement qui s'inscrit donc dans un schéma électoral, mais qui, dans un même temps, mène des actions de réflexion, entreprend une mission didactique.


De droite ou de gauche ?
On s'explique.


Le Parti fédéraliste ne se situe pas sur l'échelle classique droite/gauche.
En son sein, réfléchissent et agissent pour l'avenir de notre pays des militants de sensibilités différentes, certains à gauche ou à droite, d'autres plutôt centristes.

Le dénominateur commun qui nous unit, c'est la volonté de faire évoluer le fonctionnement de la France et de l'Europe. Acteurs de la vie politique du pays, ouverts sur les idées de chacun et dans la façon d'aborder les discussions nous nous efforçons de trouver des solutions pour améliorer la vie de nos concitoyens.
A cette fin et dans le débat public, nous nous opposons clairement aux "souverainistes" qu'ils soient de droite ou de gauche.
Nous sommes peu visibles, pourquoi ?

Le Parti fédéraliste est ce que l'on nomme un "petit parti". Formé de citoyens qui ont comme chacun des Français, des préoccupations personnelles, nous consacrons une partie de notre temps à l'action politique. Nos qualifications professionnelles en économie, dans les matières sociales ou culturelles ainsi qu'en droit, nous permettent d'entreprendre une réflexion de qualité et de proposer des solutions crédibles.
Nous ne bénéficions pas des subventions publiques nécessaires à une autonomie financière. Tous les moyens financiers et aides apportés pour soutenir cette action continue et durable sont personnels. A contrario des grandes formations qui mènent à grands frais des campagnes dispendieuses dont on a parfois du mal à percevoir le sens, au vue de la réflexion menée et des solutions proposées aux Français.
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